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Un peu d'Histoire du Milieu français
10 octobre 2016

Trois Marseillais Plein d'Avenir. Partie 7/10 : la Chute de Gaétan Zampa

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Marseille Interdite, histoire du Quartier Réservé 

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zampa-au-tribunal-ConvertImage

Au début des années 80 l'équipe Zampa est au sommet de sa réussite, mais se voit également fortement affaiblie par la pression policière croissante qu'elle subit après l'assassinat du juge Michel en octobre 81 et la guerre impitoyable que lui mènent Jacky le Mat et ses amis depuis 1977, les rangs du clan en ayant été lourdement affaiblies. En 1983 le meurtre de Gilbert Hoareau est celui de trop, emportant le "parrain" âgé de 50 ans dans les méandres de la justice et plus encore dans ceux de ses démons intérieurs. C'est à une fulgurante descente aux enfers qu'on assiste alors.

Trois Marseillais plein d'avenir

Chapitre 7 : La Chute de Gaétan Zampa

Le 6 octobre 1983 aux alentours de 18h Gilbert Hoareau dit Le Libanais, 39 ans, sort de la brasserie Les Danaïdes, propriété de Paul Mondoloni, l'un des juges de paix les plus respectés du Milieu marseillais, et s'engage sur le cours Joseph Thierry en haut de la Canebière lorsque trois hommes armés se précipitent vers lui en ouvrant le feu. Tentant de prendre la fuite, le Libanais est atteint de neuf balles dans le dos et s'effondre sur le trottoir, les assassins venant achever leur victime de trois projectiles en pleine tête tandis qu'un jeune adolescent gît non loin de là, blessé par une balle perdue.

Le corps sans vie de Gilbert Hoareau

La mort de Gilbert Hoareau, l'un des rois des nuits marseillaises aux méthodes pour le moins musclées, patron officieux de nombreux établissements de nuit et ce parfois en association avec Tany Zampa, vient semer le trouble dans le Milieu phocéen. Venue perquisitionner le domicile du Libanais après son assassinat, la police y découvre la comptabilité occulte de plusieurs enseignes tenues en sous-main par Tany Zampa et son équipe, y décelant de très nombreuses anomalies. La chasse à l'homme est alors lancée, et ce sont plus d'une vingtaine de personnes qui sont arrêtées dans tout le sud, dont la propre femme de Tany, Christiane Convers. Son époux, lui, se met en cavale en même temps que quelques fidèles dont son demi-frère Jeannot Toci, son meilleur ami Gérard Vigier et son vieil allié Jean-Marie Lucchesi dit Nono. 

La mort de Gilbert Hoareau, doublée de la mise sur la touche de Zampa, semble également être le point de départ de ce qu'on a appelé la "guerre des boîtes", terme générique désignant une série de conflits violents qui vont ensanglanter le sud-est pendant dix années autour du contrôle de plusieurs discothèques de la région marseillaise, d'Aix-en-Provence et au-delà, et dont on reparlera plus largement dans les prochains chapitres. 

cassis panneau

En attendant les premiers à faire les frais de cette "guerre des boîtes" ce sont les membres du clan Hoareau eux-mêmes, subissant une véritable vendetta de la part de leurs ennemies. L'origine du conflit est à trouver au mois de mai 1983, lorsque Le Libanais descend à Cassis avec plusieurs complices pour passer violemment à tabac Paul Karakoglou, l'exploitant de la boîte de nuit la Locomotive, lui défigurant le visage de larges cicatrices sur les joues avant de l'abandonner inanimé sur un terrain vague.
Problème : Karakoglou, que l'on surnomme désormais "le Balafré", est associé dans la Locomotive à deux autres figures de la nuit marseillaise, Edgar Korchia et Alfred Roux, et travaillerait en réalité sous le joug de Tany Zampa, le véritable propriétaire des lieux. Une offense que ni Karakoglou et ses amis ni Zampa ne pouvaient laisser passer, bien que ce dernier et Gilbert Hoareau soient en affaires étroites depuis plusieurs années - Hoareau avait d'ailleurs projeté peu avant d'investir plus d'un million de francs dans le bar-restaurant La Rotonde à Aix-en-Provence, l'un des quartiers généraux de Tany Zampa.

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Résultat : le "Beau Gilbert" perd la vie le 6 octobre 83, victime de son orgueil, lui qui s'était persuadé d'être devenu le nouveau monarque absolu des nuits marseillaises. Cinq jours plus tard l'un des agresseurs supposés de Karakoglou, Antoine Franceschini, était tué à Marseille tandis que l'autre, Joël Sergio, se faisait attaquer à la chevrotine la même nuit place du Général-de-Gaulle et sauvait sa peau in extremis en se réfugiant dans un bar voisin. D'autres associés d'Hoareau perdent la vie dans les mois qui suivent, jusqu'à son frère Joseph tué à Allauch le 8 février 1985 et son fils Alain, 19 ans à peine, abattu à Calvi le 22 août suivant. Paul Karakoglou échappe lui de justesse à une tentative d'assassinat le 18 septembre 1985 lorsque son ennemie juré, Joël Sergio, est arrêté avec trois complices alors qu'ils s'apprêtaient à le liquider. Sa femme, elle, aura moins de chance quelques années plus tard : Aline Karakoglou est en effet tuée le 4 novembre 1989 à Cassis devant son domicile, preuve que la haine entre les deux camps semblait ne plus connaître de limite. 

Une terrible vendetta donc, imbriquée dans le cadre plus général de la "guerre de cent ans" que se mènent alors Imbert et Zampa. Et pourtant, même si les corps continuent de tomber, Zampa lui n'est plus, victime de sa propre folie à l'été 84. 

Zampa en route pour le tribunal

"À la Capone"

La cavale du caïd marseillais n'aura pas durée bien longtemps, 33 jours à peine, preuve que l'attention accrue dont il faisait l'objet de la part des instances policières depuis l'assassinat du juge Michel en octobre 81 avait largement affaiblie sa logistique. Fou de rage après l'arrestation de sa femme Christiane, Tany a même ouvertement menacé le juge Yves Grangier et sa famille, à l'origine de l'opération, ainsi que le procureur Pierre Truche. Des menaces prises très au sérieux quand on sait ce qui était arrivé à Pierre Michel deux ans plus tôt.

Gaétan Zampa est finalement arrêté le 27 novembre 1983 dans un bungalow du camping de Saint-Mitre-les-Remparts, sur le pourtour de l'étang de Berre, où il planque en compagnie du fidèle Nono Lucchesi et de deux jeunes femmes, un important dispositif policier ayant été déployé pour coincer le Marseillais. 

Gaétan Zampa

Placé à la prison des Baumettes le caïd vit très mal son incarcération, et plus encore celle de sa femme. C'est que petit à petit Zampa perd de sa superbe, et ne tarde pas à se faire surnommer "la balance" puis "la marraine" par certains de ses codétenus qui profitent de son état de faiblesse pour défier l'ancien roi de Marseille, lui qui faisait trembler tant de monde à l'extérieur au temps de sa splendeur. Les personnes qui ont pu le rencontrer à cette époque ont tous eu la même impression : Tany était en train de perdre la boule. « Au fil des jours j'ai vu Gaétan Zampa craquer physiquement et mentalement, perdre peu à peu sa superbe » raconte l'ex-commissaire Georges N'Guyen Van Loc dit Le Chinois, qui a grandit avec lui dans le quartier du Panier. « Il pouvait à tout moment entrer dans des crises démentielles, sa voix, en montant vers l'aigu, devenait inaudible. Il était ailleurs, comme en proie à des visions » renchérit Me Patrice Vaillant, l'un de ses défenseurs. Certains ont raconté que Zampa jouait la comédie, qu'il voulait se faire passer pour fou et suicidaire afin d'être placé en institut spécialisé. Où se trouve la vérité ? peut-être entre les deux.

Le procès démarre en juin 1984, principalement autour des anomalies flagrantes relevées dans la comptabilité de la discothèque géante le Krypton, portant sur plusieurs millions de francs. Comme pour Al Capone cinquante ans plus tôt, le seul moyen de faire tomber Zampa aura été de l'attaquer au porte-monnaie. Et comme pour Al Capone, la "star" une fois en prison perdra tout son prestige et supportera très mal les brimades de ses camarades. Mais si Capone perd la vie à l'air libre, Zampa mourra lui derrière les barreaux. 

Au premier jour du procès, le 20 juin, Tany se jette au tribunal la tête la première contre un pilier pour se fracasser le crâne, blessant au passage le policier menotté avec lui. Deux jours plus tard il se taillade les veines du poignet, sans plus de succès. Le procès est repoussé au mois de septembre, et le Napolitain obtient dès lors de l'administration pénitentiaire d'être placé en cellule avec Robert Schandeler dit Bob, braqueur et ancien videur du Mistral à Aix, l'une des boîtes de Tany, afin de veiller sur lui.

baumettes

Ce qui n'empêche pas le caïd marseillais d'en finir une bonne fois pour toutes avec ses vieux démons quelques jours plus tard. Le 23 juillet 1984, alors que son codétenu fait la sieste, Tany se pend aux barreaux de sa cellule avec une corde à sauter. Bob Schandeler aura beau tenter une trachéotomie de fortune, Zampa est plongé dans un profond comas dont il ne se réveillera pas : trois semaines plus tard, le 16 août 1984, il décède à l'hôpital Salvator où il avait été placé. Son ennemie intime Francis le Belge pourra d'ailleurs fêter ce décès à l'air libre : il est sortie de prison deux semaines plus tôt, après onze longues années passées derrière les hauts murs. Christiane Convers, elle, du fond de sa cellule, ne peut que pleurer son mari décédé. Leur vie matrimoniale avait commencé là 18 ans plus tôt, lorsqu’ils se marièrent à l'ombre des Baumettes le 18 juin 1966, le beau Tany étant alors incarcéré pour port d'arme.
Son enterrement, le 21 août, est des plus sobres pour un homme de cet acabit. Il faut dire que la plupart de ses amis sont tous morts ou en cavale. Bob Schandeler, lui, accusé d'avoir causé la mort de son boss de par sa trachéotomie de fortune, sera abattu le 12 décembre 1989 à Montpellier, bien que les deux affaires n'aient jamais été officiellement reliées. 

Pierre Truche, le procureur en charge de l'affaire

Entretemps tombe finalement le verdict du procès le 16 octobre 1984 : Christiane Convers en prend pour quatre ans de prison dont 30 mois avec sursis et 200 000 francs d'amende. Vingt-huit autres inculpés sont condamnés avec elle, dont les deux PDG officiels du Krypton, Raphaël Di Nonno et Patrick Royère, l'avocat marron Me Philippe Duteil qui s'est occupé du montage financier, le voyou Sauveur Caronia, ou encore le "beau mec" Gérard Vigier, tous condamnés à des peines allant de six mois ferme à deux ans de prison, excepté les deux bandits en fuite Jean Toci et Nono Lucchesi. Une tempête dans un verre d'eau en somme, mais le Krypton, lui, subit une fermeture administrative définitive et ne rouvrira plus jamais ses portes. L'emblème ultime de l'empire Zampa tombe en même temps que son empereur.

Pourtant si la tête pensante du clan n'est plus, plusieurs de ses membres sont eux encore bien en vie et vont en perpétuer le souvenir pendant plusieurs années, avec toujours en fond la guerre qui les oppose à Jacky le Mat, à Roland Cassone et désormais à Francis le Belge, fraîchement sortie de prison. Des évènements qui vous seront conter dans le prochain article. A bientôt. 

vieux port

Commentaires
M
Pauvre con vous racontez n importe quoi concernant mon mari bob
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H
..jacques imbert dit "jacky Le mat", est en réalité le père adulterîn d un certain franck imbert, fruit du nouvel an51 arrosé et joyeux,.. ou ce dernier coincera sa belle soeur, "au sens de la famille..<br /> <br /> aussi développé que secret..<br /> <br /> ..ainsi, ce batard du nom de franck né le 3o/o9/51, grandira dans l ombre de 2 paternels: <br /> <br /> ..un officieux, jacky<br /> <br /> ..un officiel,... Jean <br /> <br /> ..ce frank rencontrera son alterEgo.., alix degroote <br /> <br /> â l Essec,â cet automne 1973<br /> <br /> ..or de toutes dernières recherches semblent éclairer justice et procureurs sur des origines curieusement aussi inattendues que symétriques sur"ce profil criminel alix",qui pourtant née degroote, allait quant à elle, â son insu, etre investie en 1958, dès ses quatre printemps, lorsque ses Parents apres une annee de remise en état des lieux, l installèrent dans cette petite chambre à terrasse de cette partie arrière et 17ème de cette maison de rouen acquise chez maître Thouin â rouen â l avantage de son précédent propriétaire, un certain Guillotin <br /> <br /> Or celui ci ayant en réalité été chassé des lieux devenus hantés par les stigmates d un criminel célèbre du nom de François Duramé, guillotinné par son aïeul en 1797 place du vieux marché a rouen .(!)..s était bien gardé d alerter la présence du diable dans sa propre maison aupres de tous et chacun...<br /> <br /> ..dès lors cette fratrie de 3 enfants degroote ne vit jamais le jour, tant le profil de cette fille unique et surprotégée à mauvais escient allait irriguer son égoïsme, tant l inventivité de ses innombrables tourments sciemment orchestrés allait, concrétiser le destin de ce tandem aussi romantique que criminel, en cette croisée des chemins les menant tous deux secrètement à reprendre pied à pied les activités du crime organisé et du grand banditisme, dont ce jacky le mat, né en 1928 avait bati le socle de cette petite PME spécialisée dans un genre unique <br /> <br /> ..c est ainsi que ce sordide tandem allait orchestrer le meurtre prémédité de notre frère aîné Eric, nous ayant tous mis en alerte des les premières secondes de sa rencontre avec ce frank imbert "taiseux~souriant".. ...alors lui même étudiant à l agroparistechGrignon â plaisir jouars pontchartrain, en cette nuit du 2 au3/2/74, au retour d une soirée rallye<br /> <br /> Smoking, dont le carton d invitation envoyé aux deux aînés alix&Eric Degroote, chez leurs parents, au 49 impasse neufchâtel â rouen, allait servir de roadBook au criminel (jacky le mat..(?).. ..stationné sur le parking de cette soirée, non loin de cette 2o4 Peugeot Berline blanche.. afin de la prendre en discrète filature, puis une fois arrivé en pleine campagne déserte sur cette route de Beynes, en poursuite averee, precedant alors "touchette latérale" côté chauffeur <br /> <br /> ..(ceci est si vrai que j allais vivre la même attaque un soir d hiver 2oo1, sur le trajet ClamardBoulogne, au niveau 7o du bld Voltaire, en cette grande descente par une 4o3peugeot bleu pétrole au toit beige, â nord de laquelle 3 manouches des pays de l est, m observaient d un regards commun à dessein non équivoque..).. ..destinée à dévoyer voiture en pleine vitesse et ligne droite vers cet alignement d arbres bordant ce parc de l INA, aux abords immédiats de son ecole ..puis in fine le rejoindre, alors prisonnier de son véhicule pour l achever â l arme blanche..<br /> <br /> ..ceci s explique par le fait que les pompiers alertés par les etudiants entendant les bruits de chocs depuis l intérieur de l enceinte du parc, allaient, dans une incompréhension totale diagnostiquer double traumatisme crânien adoubé d un coma avancé, aussi impensable qu illogique pour une telle cinématique d incident routier..avant de l heliporter jusqua Beaujon de Clichy où les médecins des urgences établiront les non moins inattendues et bien surprenantes constatations..<br /> <br /> ..<br /> <br /> ..décédant après huit jours de coma deTrauma-crânien,<br /> <br /> Eric allait être qualifié au lendemain de son décès de "pathogène.dépressif.éternel"par notre soeur ..â notre grande surprise..préparée en amont des l automne 73 et surgissant alors comme l "ironie d un inexorable sort"..<br /> <br /> ..ben voyons !!<br /> <br /> ..ceci explique la raison pour laquelle notre soeur alla cacher le fusil du paternel sur la droite du coin lavabo de la chambre de notre frère Eric à l'insu de tous, après l avoir décroché du râtelier mural haut du 2nd etage, â l orée de sa chambre à terrasse avant de le charger pour préparer cette petite manipulation décisive à faire rentrer dans l esprit de notre père un profil dépressif l habitant, afin de couver l ironie du sort, au lendemain de son décès, veille au soir duquel cette dernière,tenant absolument â visiter son frère(toujours dans le coma), trouva l alibi de vouloir realiser l empreinte de sa main en plâtre pour contempler, oû provoquer sa victoire,.par un sabotage technique providentiel, afin que celui ci ne puisse jamais sortir de son coma, révélant poursuite&attaque délibérée<br /> <br /> aiguyant alors le moins aguerri des enquêteurs sur la piste du "taiseuxSouriant"..<br /> <br /> ..cqfd
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Y
Gilbert hoareau c'est la brise et pas paul karagouglou qui s'en est occupe.paul karagouglou devait se le payer une semaine apres mais les jeunes corses l'ont devance pour une autre histoire.de came.c'est poupon du casse de nice qui a fait des poussettes etc.c a accelere les choses.yavait rolland et skieff qui etaient dessus .ils ont pas eu le temps.rolland le lendemain il a demande a voir francis esposito en croyant que c'etait lui.hoareau a la fin il avait plein d'ennemi.meme le gros dede disait du mal de lui.tout le monde le maudissait car il partageait rien.il avait touche une grosse affaire de came avec l'amerique sans rien donner aux amis......
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Y
Hoareau tout le monde de l'epoque,je dis bien de l'epoque,sait que ca viens des corses.tous morts depuis.ce jour la de son flingage .il etait aux danaides avc paul mondoloni ,jean jean,jmarie le blond richard laaban .didier etc..et c'est jaky gambarelli qui le fait sortir de la brasserie pour soit disant lui parler en toute intimite.ya aussi poupon qui faisait des poussettes car il avait pas touche sur une grosse affaire de came payee en dollars... pour la petite histoire des que les tueurs s 'enfuient a pieds.paul et ses amis sortent de la brasserie et sur le corps de leur ami par terre ils y prennent son petit 38 body gard smit and wisson et une envelope d"argent que venait de lui remettre le vieux paul mondoloni.sa part du casino de bandol.jaky gambarelli sera tue un an apres a bonneveine.
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